Accident Mortel [ PV Hitsugaya-san ]

le passé a écrit:: Elle lui répondit que oui mais elle n'était plus fachée puis elle ajouta que les poissons de la fontaine n'étaient pas à vendre comme ceux de la rivière donc ce n'était pas du vol. Il se remirent à marcher puis Ayukô s'arrêta sans que Töshirö ne le remarqua qu'à peu près une trentaine de seconde après. Il tourna la tête dans tout les sens la cherchant du regard puis elle finit par le retrouver s'excusant qu'elle s'était arrêtée. Töshirö lui dit que ce n'était rien tant qu'ils se retrouvaient et puis il imaginait qu'il pouvait lui faire confiance.

Puis tout en discutant, Töshirö ne remarqua même pas que le feu était rouge pour les piétons, il passa inconsciemment avec Ayukô. Souriant presque comme toujours puis détourna le regard. Il ne vit que le reflet du soleil qui réflechissait dans le pare brise et n'entendit qu'un crissement de pneus. Les poissons au sol et ensuite un silence total, tout les gens s'étaient arrêtés pour regarder, pourquoi ne disaient ils rien ? Ils avaient de la peine ? Ils voulaient lui donner un peu de silence ? Non... C'était Töshirö qui n'entendait plus rien. Il aurait au moins voulu entendre celle de sa néko qu'il avait réussi à pousser à temps hors du danger mais il n'y arriva pas.

Tout était si flou autour. Il put distinguer une voiture, sûrement celle qui l'avait renversé, mais pourquoi ne sentait il pas la douleur ? Il essaya de serrer le poing mais sentit quelque chose lacher. Sûrement un os de cassé. Il tourna faiblement, lentement les yeux essayant de voir sa néko mais en vain, sans pouvoir parler.

Un être humain de sex masculin était en train d'appeller les urgence avec son téléphone portable. Ayukô ne savait pas quoi faire, elle était tremblante et pétrifier de l'acte qui vené de se jouer. Les yeux ouvert en grand comme un lapin face à la mort. Hors, sur cette route dure... dans cette marre de sang... Ce n'était pas elle, c'était... son maître. A ce moment là elle ne sut même pas crier...

Cela faisait une heure et demi que Töshirö était dans son lit d'hôpital... Il dormait, Ayukô elle était assise sur une chaise un peu plus loing, Elle était dos à töshirö face à la fenêtre, la main poser sur la vitre regardant l'exterrieur les larmes prètes à déborder. Elle les retenées dans l'espoir que son maître ce reveil, l'autre mainscrispée contre sa poitrine, les dents sérer. les oreilles plaquées au crâne... seule sa queue garder la tête haute. Son souffle se marquer par une buée fine sur la vitre. Plus les minutes passer plus la neko avait mal... mal au coeur.

° c'était donc ca les dangers... °

Ayukô garda sa position face à la vitre mais tourna tout de même la tête afin de voir la tête vide de vie, endormie de son maître... les aiguilles que les médecin avaient planter dans son artère du bras pour lui donner du sang.

° c'est ma faute... je suis désolé Hitsugaya-san... Mais cette fois mes manssonges et mes escuses ne me cacherons pas... c'est... trop tard... °

Une larme finissa par cédés à la fine bordure de l'oeil de la jolie neko puis se mis à couler sur sa joue jusqu'a son mentons pour aller s'écrasser contre le sol... comme la voiture allant s'écraser contre son maître. Ce moment lui revint en tête comme un choque, puis l'autre oeil céda ensuite pour finalement enchaîner les larmes... elle n'arrivait plus à se retenir. Elle s'assis à genons sur le sol, contre le lit, la tête pleurante prés du corps de son maître, prés de son cou. l'une des mains poser sur son genous à la neko et l'autre sur le draps, juste sur le torse de son maître pleins de bandage.

" Hitsugaya-san... "

Dans le plus grand des troubles... Un long torrent, qui tourne sans arrêt sans jamais s'en finir. Puis une lueur tout au bout... Le jeune homme ouvrit les yeux et les referma aussitôt, quelle lumière éclatante, surtout au réveil. Il entendait quelques bruits mais n'arrivait pas à les distinguer, il avait l'impression d'avoir les oreilles bouchées ou plutôt un peu comme quand l'on est sous l'eau. Il était dans un lit, il se souviens maintenant, il avait été renversé par une voiture.

Il arrivait petit à petit à distinguer les différents sons. Des pleurs ? Toujours dans son état actuel, le regard vide, aucune expression sur le visage, le corps glacé, il baissa les yeux lentements, il vit Ayukô qui pleurait sur son torse. Il devait avoir perdu le sens du toucher. Il ne souffrait plus, il ne sentait plus ce qu'il touchait. Il emetta un son, sûrement dans l'émotion, il pouvait apparement de nouveau parler et tendit alors les lèvres pour lui dire.

"Ayukô... J'ai quelque chose à te dire..."

Il ne parlait que très faiblement et sûrement non clairement, il tourna la tête vers sa néko essayant de sourire.

"Une personne... Viendra s'occuper de toi... Mon cousin... Il peut se montrer assez violent ou encore moqueur... Mais ne t'en fais pas, dans le fond il peux être affectueux..."

Il y a bien longtemps, il avait redigé un testamment pour remettre dans le cas où il venait à mourir tout ses biens à son cousin et Ayukô en faisait maintenant partie. Il se doutait déjà qu'il n'allait sûrement pas s'en sortir vivant... Il sentait sa respiration ainsi que les battements du coeur diminuer chaque secondes...

Un souffle émmana de la bouche de son maître, les oreilles d'ayukô se relevèrent rapidement. Il était encore en vie. Elle le regarda, si contente, elle mis sa tête dans le cou de son maître roronante. Mais bientôt il aller parler, parler pour dire qu'il faller qu'il lui parle, qu'il lui parle de sa mort... en effet, Töshirö senter ses derniers instants arriver. A ses mots la neko cessa se ronronement puis se releva regardant son maître les yeux luisant, la bouche ouverte comme si il venait de dire quelques chose qui à ses yeux n'était pas possible. Il lui dit alors que son cousin à qui il avait tout lègé allait s'occuper d'elle, Ayukô mis sa main devant sa bouche pour ne pas crier. En revanche ses larmes ne pouvaient pas être arrêtées.

° il va mourir... par... ma faute °

Ayukô refuser d'admettre cette douloureuse vérité. Et elle dit s'une voix frêle et tremblante en frottant sa main sur la joue de son maître.

" Ne dit pas de bêtises... tu... tu ne va pas mourir Hitsugaya-san... "

Ayukô frottait sa main sur sa joue. Elle lui disa de ne pas dire de bêtises. Töshirö fut heureux d'avoir fait la connaissance d'Ayukô durant ces 4 derniers jours, de les avoir passé avec elle. Il versa cependant des larmes... Il aurait tout donné pour rester rien qu'un peu plus avec elle... Cela avait été si vite... Cela avait été si court... C'était trop injuste... Et puis avant de mourir il aurait aimé pouvoir sentir sa main qu'elle avait posée sur sa joue, il avait perdu le sens du toucher. Il aurait aimé sentir une dernière fois la douce et chaude main de sa néko adorée.

Il souria lentement ne voulant pas l'atrister encore plus... Car derrière se sourire se cachait une tristesse des plus profondes de n'avoir pas pu rester plus longtemps à ses côtés. Il fit une dernière fois l'effort de parler mais pour ne dire rien qu'un mot...

"Merci..."

Il comptait presque un battement de coeur toutes les trois secondes... Ca devenait trop long et allait bientôt céder. Il regarda une dernière fois Ayukô portant la main dans sa cheveulure en la carressant une toute dernière fois puis s'en suivit un long son... Infinnissable, sourd et agassant, un son qui voulait signifier le départ de quelqu'un ou encore des adieux. Les yeux du jeune homme se fermèrent lentement et le sourire s'effaca...

Töshirö regarda une dernière fois Ayukô portant la main dans sa cheveulure en la carressant une toute dernière fois puis s'en suivit un long son... Infinnissable, sourd et agassant, un son qui voulait signifier le départ de quelqu'un ou encore des adieux. Les yeux du jeune homme se fermèrent lentement et le sourire s'effaca...

Ayukô ne pût plus se retenir, ses larmes qui coulaient déja lentement se mirent à affluer. Elle se morder les lèvre retenant en elle le long crie qu'elle voulait pousser pour ne dire qu'à faible mots.

" Hitsugaya-san... "

Elle fit remonter ses mains jusqu'au col de la robe d'hôpital de son maître pour le serer fort, trés fort. Elle pencer que ce n'était qu'un mauvais rêve, juste un mauvais rêve... elle mis alors sa tête contre celle de son maître, maîs la chaleur n'y était plus. Une infirmière veint la retiré. Ayukô se débatter pour rester au prés de lui alors une seconde veint aider l'autre. D'autre médecin arrivère, quatre hommes, ils emmenèrent Töshirö avec eux, Ayukkô ne pouver rien faire, sauf le voir partir et se taire. Pleurant son décé.