Nameho >.<

Ce matin là, ce fut un jour plutôt paisible, inhabituel comparé aux autres jours, car Erwan, le neko pénible, semblait bien paisible d'un coup. Était ce parce qu'il était tôt? Ou parce qu'il était de bonne humeur? Et bien non, le petit était juste en train de bouder. Oui, vous avez bien lu, il boudait. Le pourquoi était simple, il voulait partir loin et vite. Il avait envie de manger, il avait une faim de loup et le vendeur ne faisait que peu attention à ce qui pouvait arriver à ses marchandises, surtout quand celle ci avait qu'une seule envie, arracher le bras au premier venu. Il était agressif depuis un petit moment à vrai dire et le vendeur le corrigeait dés qu'il pouvait.

Cela se voyait d'ailleurs car le jeune neko ne portait pas de haut, juste un short plutôt court, pour attirer les clients les plus pervers. Il voulait que Erwan tombe sur la mauvaise personne, pour se venger des griffures et des morsures de la première fois. Il passa justement devant la cage pour le narguer une fois de plus, il lui parla un moment mais Erwan, n'écoutait pas, restant dos tourné. Bien mal lui en prit car il entendit la porte de la cage s'ouvrir et il vit l'homme avec un fouet. Erwan écarquilla ses yeux et il se tourna rapidement pour feuler sauvagement.

Un léger combat commença alors et Erwan se prit beaucoup de coup mais il réussit à avoir une fois son adversaire, lui plantant profondément ses griffes dans le bras. Il savait comment faire pour faire mal mais il ne put continuer, son corps commençait à lui faire mal. Il tomba donc à terre et se traîna au fond de sa petite cage pour tourner le dos à l'homme, laissant ses larmes couler en silence. Sa vie était devenu un enfer mais il n'était pas là pour se laisser faire. Si jamais un maître ou une maîtresse voulait de lui, elle allait avoir intérêt à être coriace. La porte s'ouvrit justement à ce moment là mais Erwan savait que personne allait s'arrêter devant lui, qui voulait d'un neko qui était agressif et qui avait du sang sur lui à cause de coups de la part du vendeur?

Yue entra dansl'animalerie presqu'en gambadant. Elle mit plusieurs longues minutes à faire le tour pour finalement remarqué un Neko couvert de sang sécher. Elle s'appcha de lui et murmura :

'' Qui c'est le connard qui t'as fait ça ? ''

Elle oberva les yeux du Neko. Ils étaient gonflés...le pauvre avait du pleurer... Elle se redressa et appela le propriétaire.

'' Oui mademoiselle Kotao ? '' Dit-il d'une voix toute douce.

'' Je peux savoir pourquoi ce Neko semble avoir été battu ? ''

'' Oh et bien c'est que.... ''

Paff ! Yue ne pu se retenir de lui envoyer une bonne gifle. Elle le regarda droitans les yeux et dit :

'' Alors, ça vous a plu dites-moi ? Vous aller me sortir cette pauvre bête de la... ''

L'homme commença doc a chercher la clé lorsque Yue prit le rousseau et dit :

'' Aller dégagez de la, je vais le faire moi-même... ''

Yutsuko prit donc a bonne clé et entreprit lenteent de débarrer les inombrables cadenas...

La porte s'ouvrit devant une jeune femme qui avait l'air bien entousiaste... Cela fit peur à Erwan sui se blottit au fond de sa cage pour pas qu'on le voit. Il ne voulait pas qu'un humain s'approche de sa cag mais la jeune fille s'arrêta devant. Erwan se tourna vers elle pour la regarder et il remarqua que oui, c'était à lui qu'elle avait parlé. Il la vit repartir et se demanda ce qu'elle pouvait bien faire... Quand il vit la baffe que lui avait donner la jeune femme, il eut un petit sourire. Elle semblait furieuse. Etait ce pour lui? Il n'en savait rien, ils semblaient parler de lui mais il n'aimait pas écouter les conversation. Il paniqua légèrement quand il entendit la jeune femme dire à l'homme d'ouvrir la cage. Elle voulait le prendre? Pourquoi lui? Il se blottit au fond de la cage quand elle prit le trousseau et commença à feuler quand elle commença à ouvrir les cadenas. Une fois la cage ouverte, il ne bougea pas, restant au fond en feulant, les oreilles plaquées sur son crâne.

Il la regarda faire, sans bouger. Dieu qu'il avait peur le petit Erwan. Il se crispa quand elle amena sa main vers lui et tenta de la griffer mais il s'arrêta net quand il sentit la carresse. Il fut très étonné et la laissa faire, ayant toujours autant peur. Pourquoi état elle comme ça? Elle devrait être méchante, comme tous les humains... Elle voulait le faire sortir de là? Il fut énormement intrigué par la jeune femme et consentit à avancer un peu. Il avait toujours peur et quand il vit qu'il y avait le vendeur, il eut un feulement sauvage. Il reporta son attention sur la jeune fille et demanda, d'une douce et petite voix:

"Pourquoi?"

Elle ne voulait pas le voir maltraité? Erwan ouvrit grans ses yeux de surprise et se laissa faire, trop étonné de ce qui lui arrivait pour pouvoir réagir. Ce ne fut que quand il fut loin de sa cage qu'il compris. Il venait d'en quitter une pour en avoir une autre mais dorée cette fois. Car il était sur qu'il ne pourrait rien faire d'autre à part faire l'animal de compagnie. Il eut un soupire discret mais se dit que finalement, il était plutôt pas mal tombé. Mais prendre la main d'une humaine le dérangeait et il tira un peu pour se dégager, ayant des petits miaulement de peur. Ses oreilles étaient toujours plaquées sur son crâne, Erwan n'a jamais été un dominant et ne le sera jamais, à son grand désespoir. Il regarda la femme et dit, d'une petite voix en baissant la tête:

"Merci..."

Mais sa peur était encore présente et maintenant, il avait froid. Il n'allait sans doute pas faire confiance à sa nouvelle maîtresse facilement mais elle avait marqué des point en étant aussi gentille. Peut être pourrait il faire confiance à quelqu'un, finalement... Il se tourna vers le vendeur et lui tira la langue. Celui ci lui envoya un regard bien haineux et Erwan se cacha presque derrière sa maîtresse, pourvu qu'elle ne se lasse jamais de lui et qu'il ne retourne pas ici...

Erwan regarda la femme avec encore plus d'étonnement qu'avant. Il ne fallait pas qu'il l'appelle maîtresse? Il n'y comprenait vraiment rien et il eut un regard contrarié. Il fallait qu'il comprenne vraiment. Il demanda, toujours aussi calmement et doucement:

"Pourquoi... Vous n'êtes pas comme lui?"

Il ne parlait pas du vendeur mais de son père, le seul maître qu'il a eu depuis qu'il est né. Il n'avait que ça comme comparatif et il s'était dit que tous les humains devaient être comme ça. Il tombait de bien haut devant ce phénomène qui marchait à coté de lui. Mais chaque fois qu'elle le caressait sur la tête, il ne pouvait s'empêcher de ronronner, reprenant son air normal. Il rougissait à chaque fois de gène et il consentit à dire son prénom, qui lui arrachait de douloureux souvenirs:

"Je m'appelle Erwan..."