Une soirée à la plage. (terminé)

Ayukô proposa à Töshirö d'aller voir de plus près cette gigantesque flaque d'eau qui devait être la mer alors bien qu'il ne puisse pas refuser à Ayukô et d'ailleurs il n'avait aucune raison de refuser, il l'emmena à la plage. Une brise douce caressait le visage de Töshirö. Ils descendirent sur la plage. Le soleil allait bientot se coucher ce qui laisserai une belle vue. Les vagues étaient faibles. Il y avait beaucoup de monde, quelque chose avait l'air de se préparer. Quelques bateaux flottaient sur l'eau au large. Töshirö partit chercher deux coktails à un stand sur la plage puis revint vers Ayukô et lui donna un coktail. Il but le sien et jeta le verre en plastique à la poubelle.

"L'étendue de sable c'est la plage et cette flaque d'eau comme tu vois c'est la mer, d'ici on ne voit pas le bout, elle s'étend aussi loin que tu ne puisses l'imaginer ! Et puis c'est très profond aussi."

Töshirö s'assied dans le sable fermant les yeux en souriant laissant le vent carresser ses joues. Il savait qu'elle n'aimait pas l'eau et pourtant elle voulais venir ici. Il ne comprenait pas bien mais pourtant elle avait l'air émerveillée.

Son maître lui aporta un coktail de jue de fruits dans un verre en plastique qu'il but sur le champs puis en jetta le goblé à la poubelle.

"merci maître Töshirö... Töshirö tout cour pardon... "

Puis il s'assaya sur le sable l'air détendu. Ayukô n'avait pas vraiment soif elle posa son verre dans le sable à côté de son maître. Puis elle posa ses chaussure et s'avanca plus prés de l'eau. Elle avancer à pas de chattons face a cette étendu d'eau mouvante. Elle se penchat lègèrement craintive les oreilles penchées sur la plage en s'appuyant sur ses bras à l'avant, baissant son nez comme pour essayer de connaître l'odeur de cette étrange eau. Le sel lui chatouiller les narines elle éternua un petit coup avant que la mer lui offre son acceuille par une grosse vague innondant la figure et le haut du corps d'Ayukô. Qui se releva aussi tôt sur un coup de panique.

" Miaaaaaa !! "

Elle se frotta les yeux, s'éssorat les cheveux et posa son kimono sur le côté qui était trempé, elle ne suporter pas cette humidité collante. Elle s'en retourna donc voir son maître en souvêtement, trempé sa tunique sur le bras les cheveux trempés plus qu'une serpillère et collants. Elle avait les oreille penchait en arriere et les yeux luissant comme une jeune enfant qui avait fait une bêtise.

" j'aime pas la mer, ca colle, c'est plein de sel, ca pue et sa pique les yeux.. et en plus ca mouille... "

° et j'aime pas le sable non plus... ca colle aux pattes >.< °

Ayukô remercia Töshirö pour le coktail puis elle déposa le gobelet à côté de lui. Elle posa ses chaussures et Töshirö la vit se penchait en reniflant l'eau, elle éternua et la mer l'acceuilli avec une grosse vague qu'elle se prit en pleine figure. Elle était trempée, elle enleva son kimono, éssora ses cheveux et retourna voir Töshirö en sous-vêtements l'air dégoutée. Elle se plaigna qu'elle n'aimait pas la mer, que c'était plein de sel que ca puait que ca collait que ca piquait les yeux et que ca mouillait. Töshirö rigola un peu l'air moqueur.

"Je me demande pourquoi tu voulais venir ici alors !"

Il y avait de plus en plus de monde et quelques bateaux bizarre s'était rassemblé. Beaucoup de familles était venus accompagné de leurs HGA et s'installèrent sur la plage. Quelque chose allait se passer. Puis au bout de quelques minutes quand le soleil se couchait à l'horizion, des lumière vives sautèrent des bateaux et éclatèrent dans le ciel. Un feu d'artifice était organisé à la plage à cette heure ci, Töshirö ne le savait pas mais c'est bien comme ca, ca aura laissé un peu de surprise à eux deux. Des feux d'artifices de toutes les couleurs pétèrent dans le ciel créant quelques desseins reflétant la beauté du coucher de soleil. Töshirö leva la tête en regardant Ayukô qui était assez surprise.

"Quelle coïncidence pas vrai ? Arrête de te plaindre, assied toi et admire le spectacle !"

Töshirö lui demenda l'air moqueur pourquoi elle avait voulut venir ici alors, Elle lui repondit l'air un peu ronchon les oreille toujours abaissées.

" Comme ca, pour voir... "

° J'vait t'apprendre à être curieuse saleté d'Ayukô >.< °

D'étrenges bateaux s'étaient rassemblaient au large, des familles accompagnées de leurs HGA pour la plus part, s'étaient rassemblaient elles aussi. Ayukô voyait la folle arriver en grands nombres un peu surprise. Il faut dire qu'elle avait pas l'air trés maline trempée comme ca en souvêtement... d'ailleur certains hommes la regarder d'une drôle de manières et certaine femmes aussi... Ayukô se rapprochat de son maître pour se cacher au maximums des regards envieux que ces gens porter sur la jeune néko.

° quesqu'ils ont à me regarder comme ca ceux là... rolala, décidément c'est vraiment la poisse cet endrois... °

Elle regarder autour d'elle appeurée par la foulle, elle ne pouvait même pas s'en cacher, il y en avait de tous les côtés. Ses oreilles étaient au plus bas, elle tentée de se faire discret mais la petite taille de son maître ne lui offrait pas grande cachette. Soudain un bruit sourd et impulsif retenti de nul part ce qui fit érrisser Ayukô sur le champs.

" Miaaaaaah !! affraid

"

Töshirö s'exclama alors, " Quelle coïncidence pas vrai ? Arrête de te plaindre, assied toi et admire le spectacle ! ". Son maître lui avait également dit d'arrêter de se plaindre, donc même si elle en avait trés envis, elle pris ca tel un ordre se contentant de penser.

° Rhaaaaa !! c'est quoi c'est choses encore ?! j'aime vraiment pas la plage !! non, non, non... °

Puis elle releva la tête regardant les pètard faire de jolies couleur, bien que ses oreilles étaient literalement exploser. Elle se blotis sur le coté droit de son maître Töshirö et regarda le ciel.

° ca fait mal au oreilles mais c'est magnifiques ces choses... °

A l'arrière un maître accompagné de ses trois nékos femmelles et d'une usagi regarder plus Ayukô qui était peu habiller que le magnifique spèctacle qui se tramer dans le ciel sombre dominer par le soleil couchant.

Ayukô fut surprise par les feux d'artifices. Elle se blottit contre Töshirö en regardant le ciel. A l'arrière un maître accompagné de ses trois nékos femmelles et d'une usagi regarder plus Ayukô qui était peu habiller que le magnifique spèctacle qui se tramer dans le ciel sombre dominer par le soleil couchant. Töshirö l'avait remarqué.

°Mais vraiment... On peut jamais être tranquille...°

Töshirö se leva, pris Ayukô par la main, puis pris son kimono et ses chaussures dans l'autre et l'emmena dans un endroit plus calme. Il quittèrent carrément la plage, Töshirö avait deviné qu'elle n'aimait pas et puis il l'emmena sur un bord de la côte où ils étaient tranquille et seuls. Il déposa les chaussures et le kimono d'Ayukô par terre et lui lacha la main. D'ici ils voyaient toujours les feux d'artifices bien sûr.

"Ils sont vraiment énervants... Enfin bon ! Ici nous serons plus tranquille ! Désolé de m'être moqué de toi tout à l'heure, je m'en veux..."

Les feux d'artifices fesait toujours rage dans le ciel mais tout d'un coup, les feux d'artifices étaient plus puissants et plus beau aussi. Ce devait être le final et le spectacle n'allait plus durer très longtemps.

Son maître avait remarqué les regards peu saints de l'homme à l'arriere et pris Ayukô par la main, puis pris son kimono et ses chaussures dans l'autre et l'emmena dans un endroit plus calme. Il quittèrent carrément la plage, Töshirö avait deviné qu'elle n'aimait pas et puis il l'emmena sur un bord de la côte où ils étaient tranquille et seuls. Il déposa les chaussures et le kimono d'Ayukô par terre et lui lacha la main. D'ici ils voyaient toujours les feux d'artifices bien sûr. Ils lui dit que les gens étaient énnervant et qu'ici ils seraient plus tranquilles, puis il ajouta qu'il était désolé de s'être moqué déelle précédament. Ayukô rougit devant les excuses de son maître tourna lègerement la tête en direction opposé a son maître en replacant ses cheveux.

" oh?!.. mais non, vo...tu n'a rien fait de mal, et puis j'avais compris que ce n'était pas méchant, il ne faut pas t'excuser pour si peut tu sait... et puis même si ca avait était mèchant c'est ton droit... tu est mon maître et je n'est rien à dire contre tes arguments... même si je suis bêtement en train de le faire..."

Ayukô relevat les yeux au ciel admirant le feu d'artifice. Ils y avait de plus en plus de pètards qui exploser en même temps, sans doute la fin qui approchait.

Ayukô lui répondit que ce n'était pas grave, qu'elle avait bien compris que ce n'était pas méchant et qu'il n'avait pas à s'excuser pour si peu car de toute facon s'était dans ses droits d'être méchant même si Töshirö n'avait aucune raison et n'avait aucune envie d'être méchant envers elle. Elle dit ensuite qu'elle n'avait rien à dire contre les arguments de son maître et ajouta d'une petite voix faible que c'était ce qu'elle était en train de faire. Ceci fit rire Töshirö, il tourna la tête vers Ayukô qui regardait à son opposé et lui dit en souriant.

"Je ne suis maître de personne ! Je t'ai simplement rendu liberté, maintenant libre à toi de partir si tu le souhaite. Et au contraire tu peut tout dire contre mes arguments, je préfère qu'on soit égaux."

Les feux d'artifices s'arrêtèrent par deux desseins de palmiers couvrant le soleil couchant qui ne restait plus grand chose d'ailleurs. Une fois disparut quelques boulets volèrent dans le ciel et éclatèrent. De la poudre et des pétales roses flottaient librement dans le ciel et ressemblait vraiment à des cerisiers en fleure. Cette vue allait rester quelques heures, la mer est devenue rose au reflet des cerisiers et c'était très agréable à regarder.

"Splendide ! C'est vraiment beau ! Tellement beau que ca pourrait curer toutes les maladies ! Mais bon, maintenant c'est fini, on peut partir ou rester un peu ici pour regarder si tu veux."

Töshirö se mit a rire a la thèse de la jeune néko qui commencer a avoir sacrément froid. Elle avait les bras liés et la chaire de poule. Son maître lui avait dit qu'il était le maître de personne, qu'elle pouvait partir si elle le souhaitait et qu'il voulais qu'elle soit son égaux.

° son égaux... °

Ce mot raisonnat quelques temps dans l'esprit de la néko qui n'avait jamais entendut une tel absurdité. Un maître demandant à être l'égaux de son animal de compagnie.

" ARRÊTE DE DIRE DES CONNERIES !! "

La néko tombat en larme à genous les mains devant ses yeux.

" réflèchit un peu quand tu parle... Depuis ma naissance j'ai était dépendante, et jamais je n'est était traîté en une valeur égal, en temps que "personne"... Tu peut me demander tout ce que tu veut, je m'exécuterait parceque c'est mon devoir en temps qu'animal domestique de t'obéir et de te combler. Mais... j'ai une limite. Celle que tu apel "liberté", même si tu me donner cette chose je ne serait jamais capable de me débrouiller seule. Et de toute manière... que je soit libre ne change pas mon corps, je serait toujours cette même "créature", rend toi compte un peu de ce que tu dit. Si tu me lacher en pleine nature je serait automatiquement capturé par une fourière qui me remètrer en animalerie. Et même au niveau finacier c'est impossible pour moi, un HGA n'a pas de droit de travail, donc déja ca, ca m'empèche d'être ton égaux... et de toute facon je sait pas si j'en est vraiment l'envis... je t'aime beaucoup maître Töshirö... mais il y a des chose que je ne peut t'ofrir... "

Quelques larmes allèrent s'écrasser sur le sol.

" pardonne moi... et je t'en suplis... ne me redis jamais ces mots... je t'en suplis... "

Soudainement Ayukô cria sur Töshirö qui fut surpris et failli même en tomber par terre. Elle tomba en larme par terre et lui dit : réflèchit un peu quand tu parle... Depuis ma naissance j'ai était dépendante, et jamais je n'est était traîté en une valeur égal, en temps que "personne"... Tu peut me demander tout ce que tu veut, je m'exécuterait parceque c'est mon devoir en temps qu'animal domestique de t'obéir et de te combler. Mais... j'ai une limite. Celle que tu apel "liberté", même si tu me donner cette chose je ne serait jamais capable de me débrouiller seule. Et de toute manière... que je soit libre ne change pas mon corps, je serait toujours cette même "créature", rend toi compte un peu de ce que tu dit. Si tu me lacher en pleine nature je serait automatiquement capturé par une fourière qui me remètrer en animalerie. Et même au niveau finacier c'est impossible pour moi, un HGA n'a pas de droit de travail, donc déja ca, ca m'empèche d'être ton égaux... et de toute facon je sait pas si j'en est vraiment l'envis... je t'aime beaucoup maître Töshirö... mais il y a des chose que je ne peut t'ofrir... pardonne moi... et je t'en suplis... ne me redis jamais ces mots... je t'en suplis...
Töshirö eut une douleur vive soudainement. Il fut touché par ses mots. Pourtant il ne pleurait pas. Il serra fort les poing, fronca les sourcils et dit d'une voix calme.

"Je suis désolé... Tu as raison, entièrement raison. Mais alors, reste au moins libre chez moi ok ? Les humains ont tort. Tu ne devrais pas te traiter comme une créature, c'est vrai quoi, après tout, qu'est ce que tu as de si abominable ? La queue ? Les oreilles ? Les griffes ? Moi je trouve ca très mignon ! Et puis... Si ce que je t'ai dit t'a vraiment blessé, je voudrais que tu m'excuse. Mais alors, restons amis !"

Töshirö jouait les mecs forts en disant de belles paroles sans pleurer mais en réalité il était profondément triste. Il se retourna et pleura, vidant toutes les larmes de son corps voulant le cacher à Ayukô. Puis il regarda sa montre, il était déjà 21 h. Sans se retourner il lui dit.

"Bon. Je pense qu'on devrait rentrer maintenant. Alors... Au moins mais seulement chez moi, fais comme chez toi d'accord ?"

Ayukô continuer de regarder le sol, ses larmes commencaient à cèsser. Puis Töshirö aquièssa. En lui disant de jolies paroles et en s'excusant, en la supliant d'être pardonné. Elle ne pouvait... elle ne se sentait pas capable d'être "l'égal". Sa réponce fut rapide et précise.

" Non... "

Dit elle sobrement pour ne pas rechavirer dans un flot de colère.

" Je ne te pardonnerais pas... Tu te demande pourquoi ? Tout simplement car tu n'a aucune escuses à me fournires. Lhomme n'a pas d'excuses à faire, moi en revanche je doit m'excuser... m'excuser de t'avoir parler ainsi, que tu l'accèpte ou non mes égal... "

Elle se relevat se frottant les bras de ses mains car la nuit se faisait froide et que si elle remèttait son kimono trempé elle aurait encore plus froid.

" si tu le veut rentrons. Mais avant... "

Ayukô embrassa son jeune maître dans le coin des lèvres puis ajouta d'une voix douce et volatile.

" Ne t'excuse plus. Je ne voulais pas te crier dessus mais... l'inhabitude ma fait pèter un cable... C'est par où chez toi déja ?! "

Ayukô répondit négativement à Töshirö. Elle lui dit d'une voix sobre qu'elle ne le pardonnerait pas car l'homme n'a aucune excuse à fournir aux HGA. Elle ajouta qu'en revanche elle devait s'excuser de lui avoir parlé ainsi et qu'il accepte ses excuses lui était égale. Töshirö se retourna la laissant parler en croisant les bras et en regardant au sol, les sourcils froncés. Ayukô l'embrassa au coin de la bouche et lui dit de ne plus s'excuser. Töshirö soupira. Il se sentait un peu fatigué de cette difficile journée. Puis soudainement son sourire revint et il dit d'une voix assurée.

"Ayukô... Excu... Euh... Déso... Non rien..."

Töshirö se retourna en baissant les yeux d'un air triste.

°Désolé Ayukô... Je suis vraiment bête de ne pas l'avoir compris plus tot... Tu n'as pas besoin de te sentir libre mais tu as besoin d'affection. Merci Ayukô ! Tu viens de m'apprendre une grande chose !°

Ayukô lui avait demandé où c'était chez lui. Töshirö se redressa et la regarda avec un petit sourire.

"T'inquiète pas, tu connaitras la ville par coeur bientot ! Tu peut compter sur moi ! Aller, rentrons."

Ayukô et Töshirö emprintèrent le même chemin que la dernière soirée pour rentre chez eux. Il devait être 22 h du soir. Les cerisiers en fleur commencaient à se dissiper et le ciel reprenait ses couleurs.

Il lui repondit de ne pas s'en faire, qu'il allait lui montrer le chemin. Ayukô avait l'impression d'avoir était dure, mais peut être que mettre les choses au points dès maintenant était le mieux.

" Je ne m'inquiette pas, je te fait confience... "

Rétorqua-t-elle avec un grand sourire. Töshirö la pris par la main puis ils partirent en direction de la maison à son maître. Il faisait presque nuit. Ayukô se avait toujours aussi froid et avait hâte d'arriver pour se changer et se prendre une bonne douche.

° Il est bisard comme humain quand même... pourquoi veut il absolument que je soit égal à lui ?! Ca changerer quoi ?! °

La maison de töshirö pointé du nez.

" Ah !! je vois ta maison maître Töshirö "

Dit elle d'un sourire palpant.

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