De retour !! [ terminer ]

Ayukô s'exclama avait remarqué la maison de Töshirö, cela voulait dire qu'elle s'en souvenait. Ce fit sourire Töshirö puis il ouvrit la porte. Il enleva son manteau encore trempé qu'il mis à faire sécher puis demanda la tunique d'Ayukô.

"Donne moi ta tunique, je vais la mettre à faire sécher. D'ailleurs je crois que je vais même la laver, le sable est rentré dedans. Je prendrai ma douche après toi."

Il prit la tunique d'Ayukô et la mit au lavage avec son manteau dans la machine à laver. Il se releva et se tourna vers Ayukô en lui demanda si elle avait faim.

"Ayukô, je te fais quelque chose à manger pour quand tu reviendras de la douche ?

Töshirö sortit et donna de quoi manger à un chat errant qui venait tous les soirs devant chez lui puis rerentra atttendant sa réponse. Il sortit tous les ustensils de cuisine les prenant en main et souriait bêtement devant Ayukô.

"Tu demandes et j'éxecute !"

Ils étaient enfin arrivaient. Ayukô regarder le ciel découvert qui lèssait parraître les étoiles. Ils pénétrairent dans le jardin puis arrivèrent sur le seuil de la porte. Töshirö sortie sa clef de maison de sa poche, l'enfonca dans la cerrure, la tourna puis appuya sur la poigné de porte en la poussant. Il posa ensuite son manteau sur le porte-manteau puis demanda sa tunique à la jeune néko frissonnante, celle-ci lui donna et il s'emprèssa de la mèttre a sècher. Il lui dit qu'elle pouvait aller prendre sa douche, que lui irait la prendre ensuite. Puis en un même temps il donna de la nourriture à un chat érant en demandant à la jolie néko si elle désirait manger, puis sortie les caseroles.

" Non merci maître Töshirö, je n'est pas vraiment faim. "

Lui repondit elle avec un beau sourir angélique, puis se diriga dans la salle de bain, Elle entra puis referma la porte sans mettre le verou, on ne sait jamais, son maître aurait peut être une envis préssante, et de toute manière Ayukô n'était pas pudique, ce lui était bien égal qu'on la vois nue.
Elle détachat alors ses cheuveux puis passa ses mains dedant histoire de les déméler un peu et se dénuda pour pouvoir aller dans la douche. Bien qu'elle n'avait plus grand chose à enlever d'ailleur. Elle entra dans la douche, bien qu'elle n'apprécier pas l'eau, cette eau tiède sur son corps signifiant "propreté" lui plaiser beaucoup. En effet la demi-féline n'aimait pas être sale. Elle encore moins être sale à cause de la mer, car la mer et le sable coller amerement a sa douce peau. Elle evait à présent régler l'eau, ca non plus elle n'aprécier que trés peu. D'abors trop chaud, puis trop froid, jusqu'a atteindre une température idéal. Elle resta environs une demi-heure sous l'eau, il faux dire qu'elle avait de quoi se décracer... Puis elle sortie donc de la cage de douche, pris sa nuisette qu'elle avait laissée ici, sur le bord de la fenêtre ce matin. Elle l'enfila. Puis se brossa les dents, puis les cheuveux, rolala, les cheveux !! Sa longeur à cause de sa mésaventure, bien qu'ils soient propres étaient indémélable, mais aprés un dur combat elle réusit enfin à les rendre lisse, soyeux et surtout... sans noeuds !! Aprés une bonne heure donc, elle sorti enfin de la salle d'eau. Puis elle rejoigna son maître qui était assis dans la cuisine.

" J'ai fini, tu peut y aller à présent. C'est libre. "

Puis elle s'en retourna dans le sallon s'affallant de tout son corps sur le canapé. Soupirant un bon coup puis s'étirra avant de se mettre à son aise tel une carpette.

Ayukô lui répondit qu'elle n'avait pas faim. Töshirö rangea alors les ustensiles car de toute facon lui non plus n'avais pas très faim même pas du tout. Elle monta ensuite dans la douche ne fermant pas le verrou. Töshirö sortit en regardant les étoiles, après tout il n'avait pas grand chose à faire et regarder la télé ne l'interessait pas. A vrai dire, on se demande pourquoi il a deux télés surtout qu'il ne se sert d'aucunes. Surement pour l'ambiance. De dehors, il entendait l'eau couler de la douche. Il entendait l'eau couler puis s'éteindre, de nouveau couler et se rééteindre sans arret jusqu'à au bout d'un moment continuer à couler sans s'arrêter. Töshirö souria en pensant au problème que pose la douche.

°Elle aussi ne trouve jamais la bonne température... Va faloir que je règle ca, c'est énervant !°

En regardant le ciel un point léger se fit sur l'épaule droite de Töshirö. C'était le chat errant qu'il nourrissait tous les soirs. Töshirö a déjà essayé de l'héberger mais il s'échappait à chaque fois. Apparement il préférait errer seul dans les rues mais continuait à aller le voir chaque soir. C'était en fait un chaton d'une dizaine de mois. Il lui fit une léchouille à l'oreille puis Töshirö le déposa et rentra. Il entendit la porte de la salle de bain se refermer, Ayukô avait apparement terminé. Elle lui dit qu'elle avait fini, que la douche était libre et elle s'affala en s'étirant sur le canapé.

"T'inquiète pas pour le système de douche, même après des années, j'arrive toujours pas à la régler correctement !"

Il monta ensuite prendre une douche. Il entra dans la salle de bain et voulu fermer mais le verrou était cassé. Il laissa alors comme ca se déshabilla puis entra dans la douche passant lui aussi du temps pour trouver la température idéale. Trop chaud... Trop froid... Il tomba sur une température tiède mais qui était toujours un peu froide pour lui mais il laissa comme ca car il n'avait pas encore envi d'y passer trois plombes. Il se moussa les cheveux d'un shampoing et passa un coup de savon tout autour de son corps puis il rinca. Il trouva enfin finalement une température agréable même très agréable et eu la flemme d'éteindre et de descendre. Il resta sous la douche un moment se détendant puis finit par sortir, il se rhabilla puis alla rejoindre Ayukô s'asseyant sur le peu de place qui restait sur le canapé.

Ayukô s'était endormie, mais fut réveillée, après quelques battements d'oreille par la présence de son maître. Elle replia ses jambes, se mettant en boule afin de laisser plus d'espace à son maître adoré, qui n'avait d'ailleurs que mal fermé la porte d'entrée, le chaton sauvage était entré dans la maison et s'était niché, bien caché dans la cheveulure entre le cou et la poitrine de la néko. Un petit ronronement sourd provenant des deux êtres s'entandait. Töshirö était arriver aprés le chaton, donc n'y fit pas attention. Puis elle dit d'une voix douce et chuchotante à Töshirö.

" Essaie de ne pas faire de bruit, Michi dort. "

Michi était le nom de petit chat, c'était lui qui l'avait énoncé a Ayukô d'un petit miaulement. Puis elle referma les yeux sans vraiment dormir. Elle avait enfin quelqu'un a protèger à son tour, elle se sentait plus... utile ? Peut-être, elle se santait exister, comme si le fait de protèger ce petit Michi la renforcait. Elle comprenait à present les hommes, ces êtres qui aimaient posséder, qui aimaient avoir le pouvoir de décision et bien d'autres choses, en fait ce n'était pas pour un plaisir personnel, pour certains, mais une maniere de se sentir utile. Elle comprenait maintenant pourquoi son maître insistait a lui être égal. Ce qu'il voulait, ce n'était pas la dominer, ni même se sentir plus important face à quelqu'un dû à un complexe de sa petite taille, par exemple. Mais plutôt pour la "protèger". Puis elle ajouta d'une voix seraine et compatissante ? Toujours avec lègerté pour faire le moins de bruit possible...

" Je te comprend maintenant Töshirö, pardonne ma dureté... à présent je serait ton égal si tu le veut toujours... "

Elle lui sourit, c'était la première fois qu'elle le nommait "Töshirö" et non "Maître Töshirö".

Töshirö s'assied sur le canapé. Ayukô s'était apparement endormie mais venait de se réveiller après quelque battements d'oreille par la présence de Töshirö. Elle replia ses jambes se mettant en boule afin de laisser le plus d'espace possible à Töshirö. Il avait mal fermé la porte d'entrée et le chaton errant du nom de Michi d'après Ayukô qui justement lui dit de faire moins de bruit pour ne pas le réveiller. Il était caché dans la cheveulure entre le cou et la poitrine d'Ayukô. Après l'avoir prévenu de ne pas faira de bruit elle referma les yeux. Soudainement elle ajouta d'une voix seraine et compatissante, toujours légerement pour ne pas réveiller Michi qu'elle comprenait maintenant Töshirö, elle voulut se faire pardonner pour sa dureté à la plage et qu'a présent elle serait son égal si il le voulait toujours. Ces quelques phrases emplirent Töshirö de joie. Pourtant il était maintenant un peu perdu.

°Je ne comprend plus... Elle a besoin de liberté finalement ? Ou l'affection et la protection... Surement... Les deux !°

"Je te remercie Ayukô, tu n'as pas à t'excuser, tu m'as fait comprendre une chose essentielle tout à l'heure sur la plage. Et puis mon égale... Tu l'as toujours été pour moi, maintenant à toi de le décider."

Il dit ces quelques phrases doucement afin de ne pas réveiller le chaton qui dormait toujours.

Michi se reveilla aprés un long étirement puis repartit par la où il était entré, la vie de salon n'était apparement pas pour lui. Ayukô se leva, le suivi pour refermé la porte deriere lui. La jeune néko ne dit point mots. Puis elle se redirija vers "son maître". Pour lui dire:

" Je commence à avoir sommeil... "

baille.

" je vait me coucher... "

Elle dit ces paroles sans vraiment d'émotion mais au fond la solitude la pèsait et s'en retourner seule dans sa chambre ne lui diser rien.

° pourquoi les humains dorment ils tous à part... comment supportent ils cette solitude... ? °

Elle s'appuya dans le coin de la porte, les oreilles basses, puis elle se retourna regardant une fois de plus son maître Töshirö hitsugaya d'un oeil supliant, sans vraiment le faire expret. Puis elle partie se mettre en boule sur le lit que son maître lui avait désigné. Tristement, solitaire...

Le chaton était ressortit p ar où il était entré. C'était bien un chat ne supportant pas la vie de salon. Ayukô se sentait fatiguée et monta se coucher avec un regard suppliant. Töshirö eut des remords. Des remords de quoi ? Il n'avait pas compris. Il se gratta la nuque puis monta à son tour mis son pyjama et s'assied sur son lit. Puis il se coucha lentement en regardant le plafond dans le noir. Après une telle amitié, la solitude n'était plus possible pour dormir heureux. Il comprit alors ce que Ayukô ressentait. Il se leva lentement du lit puis ouvrit la porte dans le noir et se déplmaca vers la chambre qu'il avait désigné à Ayukô. Il lui ne lui avait pas désigné parce qu'il n'avait pas envi de dormir avec elle mais parce qu'il se sentait géné de lui demander de dormir avec lui car lui aussi n'aimait pas se sentir seul. Ces remords de solitude qui t'enfoncent comme une boule de bowling dans le coeur, si lourde. Un si lourd fardeau qu'on ne peu supporter sans regrets. Ayukô devait se sentir comme tel. Töshirö lui se sentait dans cet état. Une fois levé de son lit, il mit sa mains sur sa poitrine au niveau de son coeur et serra fort en froncant les sourcils et en regardant la poignée de la porte de sa chambre. Il posa la main dessus, serra et tourna. Un cliquetis se fit entendre et la porte s'ouvrit. Il marcha à pas lent et discret par peur qu'Ayukô s'était endormie même si il savait qu'elle ne s'endormirait pas une fois de plus sans Töshirö. La porte de la chambre d'Ayukô était entrouverte, il regarda alors discretement en s'appuyant un peu et la porte s'ouvrit brusquement, Töshirö fut tiré et tomba par terre, la porte claqua un grand coup contre le mur. Si Ayukô s'était endormie, elle devait maintenant être réveillée et s'était pas très malin de la part de Töshirö. Il resta un moment au sol se disant qu'Ayukô lui en voudrait d'être entré comme ca puis il se releva, il avait l'air bête maintenant. Il se sentait très géné. Ayukô le regardait d'un air surpris. Elle était en boule sur le lit.

"Excuse moi... Je ne voulais pas te réveiller, c'est juste que... J'ai un peu de mal à dormir sans toi... Alors, si tu veux bien que je dorme avec toi ?"

Un grincement de porte attira les oreilles de la neko, mais ses yeux tentant de s'endormir ne s'ouvrirent point. Puis un claquement de porte frappa contre le mur de la chambre. Et Ayukô ouvrir les yeux en sursottant. Dans l'obscurité de la chambre les yeux de la jolie créature luiser d'une rouge, ourangé... Elle y voyer trés bien dans le noir, Töshirö sans doute moins. Mais les volets n'étant pas fermés laissaient passer la lueur de la lune qui éclairé en parti la chambre d'un reflet pâle et songant. Puis une voix retantie, une voix masculine un peu nouée, cette voix ésiter à parler mais le fit tout de même. Ayukô reconnue imédiatement la voix de son maître, qui lui demander a dormir prés d'elle. car depuis qu'il était amis il avait du mal à s'en séparer. ami ? seulement ami.. ? ces paroles semblaient étrange à l'HGA. Son maître, lui demandant de dormir à ses côtés ? Avait il quelques chose dérrière de la tête ? Ayukô ne savait pas trop quoi dire, sur le moment elle pencait s'être endormis et rêver, mais ses parole semblais faire partie de la réalité. Il faut dire qu'elle fût plutôt surprise...

" Tö... Töshirö ??... heu... oui si tu veut, tu ne me dérange pas. Au contraire. Je suis ravis que tu soit là... "

Sa voix n'était pas trés convinquante car d'un côté Ayukô était ravis que son maître veuille être prés d'elle et de ne pas dormir seule. Mais d'un autre côté.. était-ce pour dormir ? La néko était un peu craintive. Elle avait déja temps souffert de ce genre d'acte humain. Mais ce n'était pas le genre de son maître elle le savait bien, mais rester tout de même méfiante.

Ayukô sursotta en regardant Töshirö. Elle répondit à sa question un peu surprise qu'il le pouvait, qu'il ne le dérengait pas et qu'au contraire elle était ravie qu'il soyait là. Elle n'était pas très convaincante. Töshirö se sentait un peu gêné. Il se sentait un peu comme boulet sur ce coup, il avait fait une entrée fracassante. Il lui répondit par un remerciment et il se glissa lentement sous la couverture, dos à Ayukô en regardant le mur froncant les sourcils. Il tira un peu la couverture car il commencait à en sortir. Il sentait qu'Ayukô était derrière lui. Il n'y avait plus aucun bruit. Les reflets de la lune passant par l'ouverture des volets éclairaient le vide sur le lit, celui que Töshirö et Ayukô n'occupaient pas. Ils étaient chacun de leur côté et avaient l'air de se méfier tous les deux. La place commencaient à se réchauffer et Töshirö se sentait un peu mieux. Ayukô ne s'était surement pas dékà rendormie. Töshirö demanda en se disant qu'il avait fait une boulette.

"Pardonne moi de t'avoir gênée. Mais... Tu es sûre que ca ira ?"

Töshirö et Ayukô étaient chacuns de leur côté du lit, dos à dos. Ayukô était décidément pommée que vouler son maître ? dormir avec elle à trois kilomèttres, juste histoire de ne pas être seul ?! étrange tout de même. Puis il ajouta quelques temps aprés s'être glissé sous les couverture qu'il était désolé de l'avoir gênée, ajouta en question, si elle était sur de son côté que ca ira. Ayukô commencer à en avoir marre que son maître s'excuse sans arrêt et fût plutôt ennervée de cette prise de parole inutil, sa colère ne se montrait pas sur son visage, elle était interieure. Puis elle rapprochat son corp contre celui de son doux maître, fit glisser sa main entre le bras et les côtes de Töshirö pour aller la déposer sur l'épaule de celui-ci en entrelassant son bras, déposa sa tête proche de la main qu'elle avait fait glisser dans le cou de son maître et murmura.

" Mais oui ca ira... c'est plutôt toi qui devrait te détendre tu à l'air stressé. Et arrête de t'excuser pour ce genre de banalité. Moi non plus je n'aime pas la solitude... c'est juste que c'était étonnant venant d'un être humain... "

Puis elle sourit, ce sourir ne se voyant point à cause de l'obscurité puis glissa un petit baiser entre le cou et la joue de son maître. Puis se mit a ronroner.

" Et puis... si tu vient pour ne pas être seul il est bête de rester aussi loing de moi... ne pence tu pas ?! "

Töshirö sentait Ayukô se rapprocher, il sentit une main passer entre ses cotes et son bras pour venir l'entourer en se poser sur son épaule. Elle rapprocha sa tête vers l'épaule se Töshirö et lui murmura que ca ira et qu'il devrait se détendre. Elle lui demanda d'arrêter de s'excuser pour ce genre de banalité. Elle ajouta ensuite qu'elle n'aimait pas non plus la solitude mais que c'était juste étonnant venant de la part d'un humain. Töshirö sentit un baiser dans son cou puis il entendit ronronner. Elle ajouta ensuite que c'était bête d'être venu pour ne pas être seul si on reste loin d'elle. Ce fit rougir Töshirö puis il se mit à sourire. Il se retourna en direction d'Ayukô. Mais à cet instant il eut un remord. Il se sentit comme protégé. Protégé par Ayukô. Mais ce ne devrait pas être le contraire ? Plutot Töshirö qui devrait protéger Ayukô ? Le maître qui protège le HGA ? Mais ca reviendrait à ne plus être égal. Alors Töshirö se mit contre Ayukô et l'enlaca.

"Tu as raison, merci. Et j'essairai de ne plus m'excuser pour rien. Sur ce, bonne nuit !"

Töshirö sentit la chaleur d'Ayukô émaner sur lui. Elle ronronnait toujours, ce son plaisait à Töshirö. Puis il finit par fermer les yeux lentement pour s'endormir.

Töshirö enlaca la jolie néko qui ne tarda pas à avoir les pommettes rosées, heureusement il se faisait sombre. Puis toujours ronronante elle dessendit sa tête jusqu'au niveau du torse de son maître, elle avait un peu froid alors se rechaufer contre lui. Puis elle s'endormit à son tour.

° bonne nuit "maître" Töshirö... tu est vraimant un humain exeptionnel, j'ai de la chance. °

La nuit passa rapidement. L'aurore pointé son nez. Ayukô ne se reveilla pas pour autant, elle était trop bien là où elle était. Elle rêvée, à quoi ?! seule elle le savait. Sa petite mains agripé la chemise du pijama du jeune homme, sa tête était calée dans le creux de l'épaule, une jembe entre celle de gentil maître, les oreilles étalées en arrière contre la tête de la néko, les yeux fermés, le visage serin sans expression sauf celle du sommeil.

A l'aube, Töshirö vint à se réveiller mais il ne pouvait pas ouvrir les yeux. Mais il sentait la jambe d'Ayukô entre les siennes. Sa tête dans le creux de son épaule et puis sa chemise de pyjama tirée, surement par la main d'Ayukô. Töshirö était trop à l'aise pour se lever. Après environ un quart d'heure, il se leva faisant une bise sur la joue d'Ayukô puis il descendit en bas. Il était tellement fatigué qu'il faillit même s'endormir dans les escaliers. Une fois en bas, il se remémora la matinée d'hier pour savoir se qu'avait pris Ayukô pour déjeuner et Töshirö lui reprépara. Un bol de café avec du lait tiède. Il fit aussi quelque toast et en manga un. Il n'avait déjà plus faim. A croire que son estomac était proportionnel à sa taille. Il remonta ensuite voir Ayukô qui était toujours dans le lit. Le déjeuner était pret en bas et ne risquait pas de refroidir. Töshirö se recoucha discretement sans faire de bruit. Quand elle se réveillera le petit déjeuner sera déjà pret en bas. Töshirö se remit contre elle en l'enlacant comme si il n'avait pas bougé se matin.

Son maître se reveilla le premier, le jeune néko poussa un petit gémissement, elle faillit à se reveiller. Puis il se diriga dans la cuisine puis prépara le petit déjeuner et revient se coucher. Ayukô se reveilla reveillée par Töshirö qui venait de se recoucher. Elle poussa la main de son maître pour pouvoir sortir, se mit assise, puis s'éttira longement. Elle fini sa séance d'étirement par un long baillement, puis se rallonga épuisée d'avoir autant dormi. Elle se tourna sur le côté le reveil afficher onze heures trente.

° il est déja si tard ?... °

Elle se leva alors, se diriga vers la fenêtre, ouvrit la fenêtre pour aérer la pièce puis en profita pour regarder voir ce qui se passer dehors,le ciel bleu azure, ces saletés de pifs en train de voletés de ci de là, les gens qui passer dans la rue d'en face. caufrer les volets, pour que le soleil ne reveil pas son maître Töshirö laissant juste un peu de lumière afin que la pièce reste visible. Elle alla ensuite prés de son armoire pour en sortir quelques affaires. Töshirö semblait s'être rendormis, il était tourné au sens opposé de devant l'armoire d'Ayukô, là ou elle était en train de se changer.

Töshirö s'était rendormi si vite ? Difficile à croire mais il s'était réveillé très vite aussi. Il ouvrit les yeux et vit que la salle était éclairée. Il ne sentait plus Ayukô derrière lui mais entendait un bruit. Il se retourna en se demandant ce que s'était et il vit Ayukô nue en train de se changer. Töshirö se retourna brusquement ayant des remords de son regard indiscret.

°Il va falloir que je la voie nue chaque matins ?!°

Töshirö se leva discretement essayant de sortir de la chambre sans qu'Ayukô ne l'apercoive puis le placher craqua. Töshirö cachait son regard de sa main mais Ayukô l'avait apparement remarqué. Töshirö lui dit un peu gené et empréssé.

"Je... Je n'ai rien vu ! Non, rien vu du tout !"

Un filet de sang coula de son nez et Töshirö sortit de la chambre tout de suite et descendit essuyant le sang avec le sopalin. Il vit que le déjeuner était encore là et encore tiède donc Töshirö le laissa comme il était. Il remonta ensuite se changer dans sa chambre.

Töshirö se leva discretement essayant de sortir de la chambre sans qu'Ayukô ne l'apercoive puis le placher craqua. Töshirö cachait son regard de sa main mais Ayukô l'avait remarqué. Töshirö lui dit un peu gené et empréssé qu'il n'avait rien vu. Ayukô se mit à sourir, au fond elle elle était morte de rire.

° Décidément ces humains... ils sont vraiments tordant. °

Et enfila sa robe puis décendit dans la cuisine. sa senté le café au lait depuis le couloire.

° mmm... quelle délicieuse odeur... °

elle entra alors dans la cuisine. vis son bol servi encore tiede sur la table. Elle s'installa sur une chaise, celle qui était en face de son bol, puis elle pris le caé au lait entre ses mains et le bût par petites gorgées. Puis elle déposa son bol dans l'évier, fit couler l'eau et le lava, puis l'éssuya et le déposa dans le placard. Elle sortit ensuite dehors s'allonger sur le ventre, dans l'herbe profiter de l'air pur.

Töshirö s'habilla puis il s'avanca vers le miroir prenant un peigne pour peigner les cheveux en pétard qu'il avait tous les matins. Il descendit ensuite sortir les vêtements d'Ayukô et les siens qui étaient maintenant propres de la machine à laver et les mis à faire sécher dehors dans le jardin. Il vit Ayukô allongée un peu plus loin dans l'herbe à contempler le ciel. Töshirö s'avanca puis s'allongea à côté d'elle et regarda le ciel. Les nuages passaient lentement et le soleil brillait maintenant haut dans le ciel.

"Salut, ca va aujourd'hui ?"

Il dit cette phrase en tournant la tête vers Ayukô puis il la retourna en regardant de nouveau le ciel.

"Il y a tellement à faire mais que choisir ?"

Ayukô se déplaca un peu vers la gauche, vers son maître pour poser sa tête su son torse. En effet comme tout "chat" qui se respècte la jeune néko aimait le contact avec tout le monde sauf ce qui la maltraîtée. Elle taper le sol avec sa queue par des coup lent et défini, un peu comme un rytme de grosse caisse. Beaucoup de gens dise que lorsque qu'un félin fait ca, cela signifie qu'il ne désir pas être dérangé. Les oreille penchées en arrière, les yeux fermer comme lorsqu'elle dort, mais là elle ne dormait pas elle était juste.. à l'aise ? sans doute. Töshirö vient à lui poser une question: Il lui demander si ça aller bien aprés l'avoir saluée. Lord des moment avec son maître elle était toujours bien, alors que pouvait elle bien répondre d'autre que:

" Oui.. trés bien même. "

D'une voix furtil partant s'envoler en douceure dans l'air. Puis elle se redressa, quelques chose la déranger derrière son oreille. Elle se lècha la main puis la passa trois fois à l'arrière de son oreille. Aller t-il pleuvoir ? Certaines personnes disent que lorsqu'un chat passe sa patte trois fois à l'arrière de son oreille c'est signe de mauvais temps. Simple superstition, les hommes n'ont sans doute rien de mieux à inventer pour se rendre intèlligants. Mais certains ne trouvent rien de mieux à faire que de les croir tout ca sur un coup de chance. Ayukô s'éttira ensuite de tout son corps pour retomber comme une masse sur l'herbe toufus et douce sur le côté. Töshirö ajouta par la suite: qu'il y avait une multitudes de choses à faire et qu'il ne savait que choisir. Pourquoi l'être humain cherche toujours à spider, pourquoi ne point profiter de l'instant présent ? Tout simplement, de l'instant présent... pourquoi toujours chercher quelques chose à faire sans jamais se détendre les jours de beau temps ? pourquoi passer son temps à érrai dans les rues sans le moindre but ?... Elle trouva pas mieux que répondre. d'une petite voix sourde avant de répondre.

" pourquoi l'humain est si étrange ? Je n'en sait rien... pourquoi ? Tu veut faire quoi toi ? "

Elle était assise, les genoux repliés et les bras entrelassant ses genoux. Regardant le ciel. Comme si elle réflèchissait. Elle aussi était en partit humaine et se poser trop de question mais elle n'avait pas le sentiment d'apprtenir à ce monde d'ésprit tordus.

Ayukô se rapprocha et posa la tête sur le torse de Töshirö qui lui carressait à présent la tête passant sa main sur ses cheveux long et soyeux. Elle tapait le sol lentement avec sa queue. Elle n'avait apparement pas envi qu'on la dérenge ce qui signifiait qu'elle était bien. Elle avait les oreilles penchée en arrière et les yeux fermés. Ayukô répondit à Töshirö qu'elle allait bien même très bien, dit avec une voix furtile. Elle se redressa ensuite, elle se lécha la main puis la passa trois fois derrière son oreille. Elle s'étira ensuite et répondit qu'elle n'en savait rien et lui demanda se qu'il voulait faire mais elle avait dit juste avant d'une voix que Töshirö pu à peine comprendre qu'elle se demandait pourquoi les humains étaient si étrange. Töshirö croisa les doigts et mis ses mains derrière sa tête lui servant de coussin. Il lui répondit avec un sourire en train de contempler le ciel.

"Je ne pense pas qu'étrange soit le mot. On devrait plutot dire qu'ils sont différents. Différents des HGA certes mais différents les uns des autres aussi. Les HGA ont été classés de différentes races, nékos et usagis par rapport à leur apparence mais est ce que votre mental est si différent ? Non, pas vraiment. Bien sur après ca dépend des personnes. On ne peut pas classer les humains par race parce qu'ils se ressemblent tous. Mais on pourrait les classer par rapport à leur mental. Beaucoup d'humains aiment dominer les autres, beaucoup d'autres aiment rester seuls ou encore d'autres qui aiment avoir des amis et être leur égal. Je vois les choses comme ca, bien sur, je ne dis pas que ca pourrait être ca, disons juste que c'est une hypotèse mais les humains ne sont pas vraiment étranges, chacun d'eux. C'est plutot l'humanité globalement qui est étrange... Mais... Imagine un peu que ce soit les HGA dominant les humains. Il y aurait peut être eu inversement de rôle. Si c'était le cas je vous trouverait peut être étrange aussi. Et si c'était le cas peut être d'autre HGA aimeraient faire le mal aux humains. Bien sûr, je crois qu'on est tombé sur la bonne personne tous les deux, tu ne crois pas ?"

Tout en restant couché dans l'herbe touffue, il s'étira levant les bras et les jambes qui retombèrent. Puis il dit en souriant.

"Moi, ce que je veut faire ? Je resterai bien allongé dans l'herbe avec toi toute la journée ! On est si bien ici !"

Töshirö s'adressait à la néko, mais celle ci ne se retourna pas pour autant, elle tourner juste l'oreil écoutant attentivement la moral de son maître. Sur le coup elle fût surprise qu'il eût entendu ces piètres mots. Puis il ajouta aprés sa long thèse que ce qu'il désirer faire lui, c'était rester là, alonger dans ll'herbe toute la journée avec elle ce qui la fit abondament rougir, elle n'ausait se retourner vers lui. Ces mots lui en passèrent même un frisson. Que devait-elle comprendre... surtout que peu de temps avant il avait dit qu'il penser être tombé sur la bonne personne, en parlant de la petite néko, enfin grande par rapport à lui. Elle tenta de répondre.

" Et bien.. heu... "

sa gorge était nouée, elle ne savait que répondre à de t'elle propaux. Elle savait pas ,non plus, comment se dépatouiller dans ce genre de situation. Sa voix était tremblante. La fuite ? non la fuite aurait était encore pire. Elle se contenta de ne pas se retourner.

Ayukô avait l'air génée. Elle avait l'air de ne pas savoir quoi répondre. Ce qu'avait dit Töshirö l'aurait déstabilisée ? Töshirö remarqua qu'elle rougissait. Qu'est ce qu'il avait bien pu dire qui l'avait mit dans cet état ? Töshirö souria puis se leva sans faire de bruit et vint derrière Ayukô. Il passa ses mains autour de ses épaules et l'enlaca lui faisant une bise dans le cou.

"Je suis désolé, je t'ai vexée ?"

Après avoir dit sa, Töshirö eut des remords. Il s'était encore excusé pour une banalité alors qu'il lui avait promis de ne plus le faire. Il la lache, recula et s'assied à côté d'elle en regardant droit devant.

Son maître n'avait apparement pas compris. D'un côté temps mieux. Mais Töshirö arriva discretement derrière elle passa se bras autour du cou de la néko et lui fit un baiser dans le cou se qui lui passa quelques frisson dans le dos er n'arrenga pas son état. Elle était encore plus rouge que rouge et là, ne savait vraiment plus comment réagir. La jeune néko tremblotter les poings serée, pourquoi ? aucune idée. Puis elle prit la fuite grimpant sur une branche d'arbe plutôt haute. Comme tout le monde le sait les félins son trés doués pour monter au arbre mais... pour en redécendre... c'est une autre histoire. Elle semblait pensante. Töshirö était bisard depuis hier avec elle. Tout d'abord il vient dormir avec elle... ensuite il se met a saigner disant ne pas l'avoir vu puis maintenant il tenait des propos pas plus net. Comme quoi il pencer avoir fait le bon choix en choisissant Ayukô ect... En tout cas Ayukô avait le coeur pincé un sentiment de gène qui ne lui était jamais arriver au part avant. Enfin de la gène... c'est ce qu'elle éstimer. Jamais ou presque elle n'avait rougit de la sorte pour si peu. Enfin si peu.. trop dans dans une seule phrase. Il faut dire que jamais personne ne l'avait traîté ainsi. Etait elle malade ?...

° rolala... °

Ayukô pencer avoir fait une grosse boulette en partant comme ca. Mais que pouvait elle faire face à l'incconue ?

Il vit Ayukô s'enfuire et grimper à un arbre. Elle était très habille pour grimper mais pour redescendre, comment allait elle faire ? Töshirö la regarda en mettant sa main au dessus de ses yeux pour cacher les rayons du soleil. Elle avait l'air génée. Et Töshirö s'appuya contre un mur de sa maison en la regardant.

"Tu sauras redescendre ?"

Töshirö sentit qu'il n'aurai pas dû l'embrasser dans le cou ni même dormir avec elle. Elle avait peut être dû prendre ca comme symptomes que Töshirö soit un pervert. Rien que le fait d'y penser donna des frissons à Töshirö, lui qui détestait les pervers, en être un n'était pas la joie.

Ayukô était perchée dans un arbre du jardin de Töshirö. Il mit sa mains au dessus de ses yeux a cause du soleil puis alla s'adosser à un mur puis demanda a la jeune néko si elle arriverait à redécendre. Cell-ci fit un mouvement de tête de droite à gauche puis de gauche à droite indiquant le non. Elle se refuser à regarder son maître dans les yeux.

° pourvus qu'il ne vienne pas me chercher... °

Ayukô glissa de la branche sur laquelle elle était percher mais se rattrapa de justesse à la branche avec ses mains, les griffes plantées dans l'arbre. Töshirö se leva brusquement comme pour aller l'aider et dés qu'elle le vit elle forca de ton son être sur ses bras et réusit à remonter. En aucun cas elle ne voulais qu'il la touche. Ni même sentir son odeur. Mais elle ne pouvait pas restait sur sa branche toute la vie, il faudra bien qu'elle se décide à en redécendre. Mais en remontant, elle reglissa et chuta. Elle était retombée à terre comme une masse. Elle était couchée par terre les paupière fermer dans l'inconciance.

Elle répondit négativement de la tête à Töshirö. Elle glissa soudainement de la branche et se rattrapa avec ses pattes. Töshirö se leva brusquement par peur qu'elle ne tombe puis elle remonta en déployant toutes ces forces. Puis en remontant elle reglissa et tomba par terre. Töshirö essaya mais n'eut pas le temps de la rattraper. Elle tomba lourdement par terre.

"Merde !"

Töshirö s'empressa de courir à elle. Elle respirait encore. Il fis dos à Ayukô en s'accroupissant, il pris les bras d'Ayukô puis les mis sur ses épaules entourant le cou de Töshirö puis il pris les jambes d'Ayukô en les tenant au niveau de ses hanches. Bref, il pris Ayukô sur son dos mais elle était un peu lourde au vu de sa taille par rapport à celle de Töshirö. Mais il fit quand même l'effort de monter et de la déposer sur son lit. Il amena une chaise et s'asseya à côté d'elle un peu inquiété de pourquoi elle avait réagi comme ca. Il attendait à côté qu'elle se réveille.

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