Enfermer, encore et toujours...[Libre]

Enfermer, encore et toujours, dans cette cage, froide et étroite, seul dans le noir, et dans la peur. S'était comment était Onii, jeune neko, a cet instant. Elle n'avait pas spécialement peur, mais il fallait dire que s'était une journée plutôt triste. Un ciel triste et gris, remplit de nuage.

Le regard vide, elle fixait l'extérieur de sa cage... Elle aimerait tellement pouvoir être a l'extérieur a nouveau... Soudain, une femme qui tenait sa petite fille par la main la regarda... Puis, elle repartie en tirant sa fille. La pauvre fillette échappa alors son jouet. Onii passa son bras a travers le barrot et elle prit le jouet

- " Onii a trouver jouet de petite fille... "

La mère se tourna alors vers Onii et elle lui prit brusquement le jouet des mains, puis elle frappa sur la cage en l'insultant de salle voleuse. Onii alla aussi profondément dans sa cage que possible et elle se cacha le visage dans ses mains, horrifier... Elle n'avait rien fait de mal pourtant, alors pourquoi cette dame lui disait de si mauvaise chose?... Elle ne comprenait pas. Continuant de trembler, elle resta cacher au fond de sa cage tendis que la femme partait avec sa fille...

Il faisait nuit et Ryuzaki rentrait de son travaille. La lune éclairait la ville de sa forte lumière blanche. Le temps était bon et les étoiles était par millier dans ce ciel sombre. Le jeune garçon était habillé d'un jean bleu ce dégradant au blanc sur le bas, d'un T-shirt blanc sous une chemise de toile rouge. Le jeune homme avait un air des plus heureux. Car aujourd'hui, il venait de toucher sa paye en avance. La lettre à la main, il la mis dans sa poche arrière et continuat de marcher. Le jeune homme avait travaillé très dur au restaurant. Oui le restaurant avait reçut la visite d'un riche homme d'Europe. Ryuzaki avait fait ses meilleurs plats avec beaucoups de soins. Pour le remercier, le gérants l'avait payé à l'avance et lui avait offert un petit quelque chose en plus. Le temps était doux et agréable. Ryuzaki qui d'habitude rentrait en bus, voulut en profiter. Il marchat donc à pied pour rentrer chez lui. Son appartement se trouvait de l'autre côter du restaurant. Le jeune Ryuzaki continuat de marcher pour s'arrêter devant l'animalerie. Il resta figé sur place en repenssant à son passé. Il entra pour jetté un oeil par simple curiosité. Il poussat la porte et entrat dans ces lieux. Il appelat le vendeur avec un signe de la main. Ce dernier était venue accourut. Le vendeur demandait à Ryuzaki que voulait-il acheter. Celui-ci fit un non de sa tête et lui dit qu'il voulait juste jetté un oeil curieux. Il fit le tour de l'animalerie. Le jeune garçon n'avait rien vue qui lui plaisait dans la boutique. Il aperçut tout de même une personne dans une cage qu'on ne voyait pas très bien. Ses mains devant son visage, et son corps tout tremblant. La position et la façon de faire de la néko rappelat au jeune homme son passé de crimes incéssant voyant tant d'être pris de peur.Ryuzaki se raprochat doucement et lui fit un coucou de sa main droite.

"Coucou. Comment tu t'apelle ?"

Onii sursauta. Elle ne bougea pas tout de suite, puis elle écarta ses doigts doux et fins, laissant entre voir ses grands yeux rouge. Elle fixa l'humain qui lui parlait. S'était la première fois qu'on lui parlait gentiment depuis si longtemps... Elle approcha alors timidement, pour le regarder... Ses grands yeux le fixait avec timidité et curiosités. Comme si s'était elle, qui était hors de la cage pour le regarder. Sa devait lui faire bizarre. Enfin bref, elle le fixait toujours avec curiosité et timidité, comme le petit animal qu'elle était...

- " O... Onii. Onii s'appelle Onii. =¦3 "

Toujours timide, elle lui souria. Puis, elle tendit la main, comme pour le toucher, mais soudain, le bruit d'une porte qu'on ferme brusquement l'effraya et a nouveau, elle se réfugia au fond de sa cage. A cet heure si, les gardiens se montraient plus brutal, de mauvaise humeur. Onii le savait et elle avait souvent peur comme ça ici. Il y avait de l'agitation plus loin. Une Usagi pleurait alors qu'un gardien frappait sur les barreau pour la faire taire, ignorant qu'il y avait un client a cet heure. Après tout, pour eux, ils n'étaient que des animaux...

Onii restait donc là, coucher au fond de sa cage trop petite, tremblotant dans le noir, comme un enfant apeurer par les cris d'un parents...

Ryuzaki trouvait ça bizard que la jeune neko parle d'elle à la troisième personne. Il trouvait même étrange pour lui, qui n'avait jamais adressé la parole à une HGA. Il les avaient toujours chassé et tué mais c'était du passé. Un trops lourd passé pour lui qu'il devait porter. La neko lui dit donc qu'elle s'appellait Onii...Ryuzaki eu une bref impression d'elle mais pensait que cela voulait déjà tout dire. Elle était du genre très timide. Onii voulut tendre sa main mais quand elle entendit le bruit du claquement de la porte, elle se mit au fond de sa cage.
Un gardien avait fermé la porte provoquant ainsi un énorme bruit qui avait fait bondir Ryuzaki. Son coeur fit un saut avant qu'il réalise que se n'était seuleument une porte. Il entendit le bruit de pleure d'une personne. Un homme semblait frapper contre la cage. Ryuzaki ignorait complètement l'agitation qui se trouvait plus loin. Il regardat plutôt Onii tremblant dans sa cage.

"C'est ton amie la fille qui pleure ? Si c'est ton amie tu devrais la soutenir. Tu ne pourras jamais le faire en restant dans ton coin. Et tu n'a pas à avoir peur. Le méchant monsieur va rien te faire."

Ryuzaki dit ses mots avec un petit sourir pour la rassurer. Il avait compris qu'elle semblait être spécial par rapport aux autres HGA dans l'animalerie. Elle avait beaucoups à apprendre.

Onii décacha son visage pour le regarder de ses grand yeux tout mouiller. Puis, a 4 pattes, elle approcha autant qu'elle pouvait de lui, le regardant toujours.

Elle tendit alors la main. Elle passa a travers les barrots, puis elle retourna a l'intérieur.

- " Toi dehors... Toi pas a la place d'Onii, alors toi pas comprendre... "

Les oreilles de la neko se rabattirent sur sa tête, signe de sa tristesse. Elle n'avait été libre qu'une fois, pendant quelque jours, mais ça avait été les plus beaux jours de sa vie. Pourtant, elle commençait a doutée de sortir un jour de se triste endroit... Onii s'assit et elle continua de le regarder tristement, puis elle s'assit de coter a lui, fixant ses pieds, ses bras pâle autour de ses jambes...

Onii avait raison. Ryuzaki ne comprenait rien, pourquoi elle se repliat sur elle même apeuré avec tant de peur. Pourtant il n'avait rien fait de mal, il ne l'avait pas menacé ni rien. Pourquoi la neko est-elle si méfiante. Peut-être qu'elle pouvait savoir si la personne est bien ou mauvaise. Ryuzaki se pensait mauvais, d'avoir tué tant de gens innocent. Il pensait qu'elle avait deviné son passé ou quelque chose du genre. Après tout se ne sont pas que des humain c'est aussi des animaux. Il la regardat en pensant aux derniers mots d'Onii. Elle voulait qu'il parte car il ne comprenait pas sa souffrance. Il lui fit un petit sourir puis hochat sa tête en signe de d'accords. Ryuzaki commençait à partir, quand il fit tomber quelque chose de sa poche arrière. La seul chose qu'il possèdait à cette endroits était son chèque. Il partie donc en direction de la sortie, voulut prendre son chèque et le regarder. Il fouillat sa poche, même toutes ses poches mes rien. Il revaint en arrière pour chercher par-tout dans l'animalerie...

Il pu alors voir un homme frapper fortement sur la cage d'Onii. La pauvre Neko était cacher au fond de sa cage en tremblent. Quand l'homme vit Ryuzaki, il do0nna un dernier coup a la porte de la cage, puis partie. Pourquoi était-il aussi violent avec elle tout d'un coup? Onii avait vue le morceau de papier de Ryuzaki et elle l'avait ramasser, mais l'humain, qui avait voulut prendre le chèque pour lui, avait vue Onii et il lui avait ordonner de le lui donner. Bien sur, la petite n'avait pas obéis et l'humain était devenu fou de rage.

Bref, quand il fut parti, Onii releva lentement, très lentement, la tête. Elle vit alors Ryuzaki... Elle laissa tomber le bout de papier tout froisse(le chèque) et elle resta cacher au fond de sa cage, sur qu'il allait lui crier après en croyant qu'elle le lui avait voler...

- " O... Onii désoler "

Elle se mit a pleurnicher, sur et certaine qu'il allait lui crier après...

Ryuzaki vit son chèque froissé, près de Onii. Il lui fit un petit sourir car il savait qu'il l'avait perdu. Il ne possède pas trops de chance et à l'habitude de perdre beaucoups de chose. Il ne pensait jamais au vol. Car depuis qu'il est petit, il perdait tout. Le jeune hommme entendit la neko lui dire qu'elle s'excusé. Ryuzaki ne comprenait pas pourquoi elle s'excusé et pleurait tout le temps avec un regard si triste. Il lui fit un sourir comme pour la réconforter.

"Tu n'a pas à t'excuser puisque ta rien fait de mal. Ta même retrouvé ce que j'avais perdu et je te remercie.Hum...tu te sent si mal ici ?"

Ryuzaki tendis sa main doucement à travers les barros pour pouvoir éspérer que Onii lui donne le chèque.

La jeune neko prit le chère et le lui donna, puis elle s'assit et elle prit les barrots entre ses petites mains. Comme elle était une neko plutôt petite, elle pouvait s'assoir, mais se n'était pas le cas de tous..

- " Toi vouloir essayer ? "

Elle lui disait ça avec un sourire moqueur... Un humain deviendrait fou en restant ainsi enfermer, et elle, elle passait sa vie entre ses barrots. Elle regarda alors dans la direction de la porte tristement.

- " Nekos pas libre... Pas le droit... Toujours dans ces cages... "

Elle le regarda alors...

- " Humain libre... Mais pas nous... "

Il y eu a nouveau de l'agitation plus loin... Onii fixa la direction du bruits en silence un instant...

- " Humains s'assurer que nous pas libre. Jusqu'à se que on nous amène loin d'ici... Dehors... "

Ryuzaki prit le chèque que lui avait donné Onii. Il le mit ensuite dans sa poche arrière droite. Le jeune homme regarda ensuite la neko qui lui dit si il voulait essayer avec un air un peu moqueur. Il ne compris pas tout de suite les mots que la neko lui avait dit. Un bruit se fit entendre mais cette fois, cela ne troubla pas Ryuzaki. Il resta tranquille et posé. Mais Onii elle était distraite par ce bruit. Elle fit un regard de tristesse en direction de la porte. Et dit une phrase à Ryuzaki sans même le regarder. Ensuite elle posa les yeux sur lui, pour le reparler. Et un nouvel évènement se produit plus loin, Onii toujours a l'affut du moindre bruit. Ryuzaki écoutait la dernière phrase de Onii avec une grande intention. Il l'avait bien entendu parler et Ryuzaki trouvait sa bizarre qu'elle parle de cette manière. Il trouvait sa même très drôle et à la foie étrange. Cela lui faisait penser à un enfant ou à une personne qui n'avait jamais appris sa langue et qui l'apprenait. Il la regarda sans lui faire un sourire.

"Tu a des problème ? Parce que je peut-aider à les résoudre."

Ryuzaki voulait se racheter pour son passé envers les HGA. Il devait tout faire pour pouvoir l'aider. Il savait qu'en l'aidant, il pourrais se sentir plus tranquille mais n'effacerait pas se qu'il avait fait.

La jeune neko le regarda. Il ne comprenait pas se qu'elle voulait? Se que chaque neko ou usagi désirait le plus ici?... Les humains... Ils régressait en dirait. Enfin, bref. Elle le regarda a travers les barrots, s'agrippant toujours a eux...

- " Libérer Onii... S'il-vous-plait... "

Cette fois, on pouvait espérer qu'il comprendrait se qu'elle voulait exactement... Quand elle disait "libérer", elle parlait pas juste de sortir de là pour essayer de vivre a l'extérieur... Non... Elle savait qu'elle ne pourrait vivre seul a l'extérieur, trop douce et gentille pour survivre. Soit elle mourrait, soit elle se ferait capturerez...

Bref, elle continua de le regarder d'une façon triste et suppliante. Il ne pouvait surement pas la comprendre, mais si il essayait, il pourrait peut-être un peu s'imaginer se qu'elle ressentait...

Il la regarda en comprenant parfaitement ce qu'elle pouvait ressentir. Tristesse et peur. Quand il entendit les mots que Onii lui avait dit, il réfléchissait dans sa tête. Mais que pouvait bien dire cette neko. La libérer, ou sans doute l'acheter. Il ne comprenait pas vraiment. Le jeune homme pensait à autre chose que d'acheter une simple neko. Il prendrait des risques en l'achetant. Il ne s'était jamais occuper d'autre animaux que son poisson rouge. Il pensait être perdu avec un animal. Et ses intentions au début était de venir visiter mais les sentiment de la jeune Onii était si forte qu'il ne pouvait ressentir un pincement au coeur. Il lui fit un oui en hochant sa tête.

"Je peut acheter si tu veut ? "

A peine eu-t-il finit sa phrase qu'un vendeur venu le voir, content de se débarrasser d'une autre de ses bêtes bruyante. Il vit alors qu'il parlait avec Onii... Il soupira, puis souria au jeune homme.

[Vendeur]- " Bonjour, alors, vous avez choisit? "

Il se tourna vers Onii, qui fixait Ryuzaki avec des yeux pleins d'étoiles..

[Vendeur]- " bien. J'espère qu'elle vous comblera. "

Il ouvrit alors la cage de la jeune neko. Onii descendit prudemment de sa cage, elle s'était presque fouler une cheville en tombant un jour. Puis, une fois debout, elle se tourna vers Ryuzaki avec des yeux brillant. Il la dépassait d'un peu plus d'une tête, étant une neko de petite taille. Elle le serra alors fortement dans ses petits bras. Puis, après un moment, Ryuzaki pourrais soit choisir de partir avec la neko, soit la l'abandonner là... Enfin, bref.

Le vendeur vint assez rapidement. Il lui avait demander si il avait choisit. Il fit un oui en hochant sa tête de haut en bas. Le vendeur ouvrit sa cage et Onii s'attacha à lui. Ryuzaki fut très surpris par l'attachement de Onii qu'il connaissait pas très bien mais qu'il trouvait très sympathique. Il regarda le vendeur, lui fit un sourire puis lui donna le chèque. Toutes ses économies était gaspillé mais il s'en foutait. Le vendeur lui dit que s'était trop mais Ryuzaki voulut qu'il garde le reste. Onii était toujours vers lui. Ils sortirent de l'animalerie et marchaient en direction de l'appartement de Ryuzaki. Après avoir marché si longtemps, ils arrivèrent enfin devant le nouveau lieu d'Onii.

[fini Onii est adopté.]

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